mercredi 4 août 2010

Leçon de doigté


Après six mois de galères, je réussis enfin à trouver ton point G. Du bout des doigts, tout d'abord, avec douceur et dexterité, je te touchais un peu partout, parcourais les 24 heures du manche pour trouver l'itinéraire adéquat. Je compris vite qu'il fallait te caser et non te faire frêtiller s'il l'on voulait que tu jouisses proprement. Ensuite, expérience oblige, je me mis à te travailler avec mon index, tendu et vigoureux. Tu m'offris alors un son complexe que je canalisais plus facilement. En accord avec toi, nous essayâmes plusieurs dildo mineurs en plastiques, plus ou moins épais, selon mes envies du jour. Plus je me rapprochais de ton trou, plus tu montais, on entrait parfois en harmonie quand je t'effleurais avec délicatesse.


Bref, la découverte de ton plaisir créa en moi une dépendance quotidienne et le rouge au bout de mes doigts apparût lorsque je me mis à apprendre tes règles. Durant les brefs instants de blues, je m'arrêtais sur ton corps pour noter de manière insistante la façon dont il fallait poursuivre l'acte.


Aujourd'hui, tu m'as comblé. Dans ma chambre, je continue à te découvrir en silence, me montrant un brin original, regardant sur le net comment tes copines prennent du plaisir. En soirée, je sors le grand jeu, te fais jouir le plus fort possible pour montrer mon assurance auprès des autres, branle ton manche frénétiquement. Les filles s'approchent, aiment notre complicité jusqu'au moment où je me mets à jouir moi aussi, parait que je jouis mal. Pas grave, ta seule compagnie me suffit, quoique qu'une petite partouze c'est bon aussi. Quoi de plus beau que deux guitares qui prennent leurs pieds au bout de doigts subtils et agiles?


Pour te prouver ma fidélité, j'ai fondé une entreprise avec toi, révelatrice de notre osmose torride. Je l'ai nommé "flamme and co". Fini tout ces gadgets en plastiques, je te laboure à l'ongle maintenant, te gratte, te percute à coups de mandales, et le pire c'est que tu en redemandes...