Avec tes cheveux roux qui deviennent très vite grisonnants, tu vieillis de plus en plus vite. Bizarrement, lorsqu’on est jeune on te laisse le cul à l’air pour finalement te vêtir d’une couche lorsque la maturité et l’âge nous travaillent. Avec toi, on devient sadique, plus tu nous fais du mal et plus on t’aime. On t’offre ce qu’il y a de plus profond en nous, tu es le seul autorisé à voir notre intérieur l’espace d’un instant avant qu’on te rejette d’un simple soupir neutre et indifférent.
Avec le temps, on prend un malin plaisir à t’habiller. On se rappelle le temps lointain où l’on gerçait ton bel habit blanc faisant ressortir ton torse velu et humide. Mais à chaque fois on récidivait et on t’apportait un peu de chaleur. Aujourd’hui, on devient perfectionniste et on n’accepte aucun plis ni défaut dans ta présentation. On attend un peu avant de te faire vieillir et on admire cette préparation parfaite.
Quand vient le moment où tu te rends utile, on aime à observer ce que l’on fait de toi. Certains t’embrassent discrètement du bout des lèvres, plus où moins longtemps, alors que d’autres, plus avenants et chaleureux, y mettent carrément la langue. Mais ces derniers se retrouvent très vite la bouche pleine de tes poils de cul et optent vite pour la couche. Dans tous les cas, ce contact t’émeut et te fais rougir au plus haut degré, si bien que tu ne sais plus où te mettre et te fais de plus en plus petite.
Parfois, on te met au vert, l’histoire que tu pètes la forme, et on te prend en tournante, entre potes, pour une bonne partie de rigolade. Puis quand tu n’as plus aucun intérêt pour nous, on te balance dans un trou ou par terre, ton cul noir et parfois creux pointé vers le ciel.
Qu’on soit croyant ou pas, la résurrection est un fait réel avec toi et même si l’on te déteste de plus en plus avec le temps, tu seras toujours là pour nous rappeler combien c’était con d’avoir cru en ton amitié…
Avec le temps, on prend un malin plaisir à t’habiller. On se rappelle le temps lointain où l’on gerçait ton bel habit blanc faisant ressortir ton torse velu et humide. Mais à chaque fois on récidivait et on t’apportait un peu de chaleur. Aujourd’hui, on devient perfectionniste et on n’accepte aucun plis ni défaut dans ta présentation. On attend un peu avant de te faire vieillir et on admire cette préparation parfaite.
Quand vient le moment où tu te rends utile, on aime à observer ce que l’on fait de toi. Certains t’embrassent discrètement du bout des lèvres, plus où moins longtemps, alors que d’autres, plus avenants et chaleureux, y mettent carrément la langue. Mais ces derniers se retrouvent très vite la bouche pleine de tes poils de cul et optent vite pour la couche. Dans tous les cas, ce contact t’émeut et te fais rougir au plus haut degré, si bien que tu ne sais plus où te mettre et te fais de plus en plus petite.
Parfois, on te met au vert, l’histoire que tu pètes la forme, et on te prend en tournante, entre potes, pour une bonne partie de rigolade. Puis quand tu n’as plus aucun intérêt pour nous, on te balance dans un trou ou par terre, ton cul noir et parfois creux pointé vers le ciel.
Qu’on soit croyant ou pas, la résurrection est un fait réel avec toi et même si l’on te déteste de plus en plus avec le temps, tu seras toujours là pour nous rappeler combien c’était con d’avoir cru en ton amitié…
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